Des panels organisés, il ressort plusieurs préoccupations considérées comme des freins à la promotion de l’#agriculturefamiliale notamment :

 

– l’absence ou la faible institutionnalisation de l’agriculture familiale ; et cela est considéré comme un élément fondamental pour la promotion des exploitations familiales,

-manque de politiques précises des organisations paysannes par rapport à leurs objectifs

-la non-instauration d’une politique spécifique,

-le manque de lois qui encadrent et protègent les petits exploitants,

-l’ambiguïté dans certaines régions de l’Afrique sur le régime #foncier qui régit l’utilisation des #terres chez certains exploitants familiaux,

– la non-prise en compte des droits des #femmes,

– le manque de financements et de subventions destinés aux petits exploitants,

-le manque d’interconnectivité entre les pouvoirs publics, les organisations paysannes et celles de la société civile, (manque de dialogue),

-absence de suivi dans l’exécution des projets et programmes des organisations paysannes, (travailler de manière à ce que les projets et programmes aboutissent à un résultat positif),

Ces remarques sont tirées des travaux de groupes qui consistaient à mettre en relief les expériences vécues des participants venus de près de 27 pays d’Afrique. Certains pays dont le #Sénégal cité en exemple en matière d’organisation institutionnelle. Autre pays, le Costa Rica, où sévit un environnement cadre globale favorable à l’éclosion de l’agriculture familiale.

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