Le CNCR, le GDSP, l’IPAR sous l’appui du l’#USAID dans le cadre du projet Feed the Future Sénégal, Projet d’Appui aux Réformes et aux Politiques Agricoles (PSSa partagé lors d’un atelier national tenu le 20 novembre les résultats d’une étude sur les conditions d’accès des exploitations familiales et de leurs entreprises aux financements.

 

Les huit 8 voix à suivre par les exploitants familiaux pour financer à taux préférentiels leurs activités

1

– rationaliser et optimiser les interventions publiques, les soutiens de l’État doivent produire des impacts positifs avec des résultats mesurables;

– renforcer la sécurité alimentaire du Sénégal et rééquilibrer concomitamment sa balance commerciale ;

– développer des filières intégrées compétitives, à haute valeur ajoutée ;

– Préserver les équilibres socio-économiques et dynamiser l’économie rurale;

2

-mettre en place une entité dédiée (Agence ou Structure autonome) de planification, de pilotage et de coordination de toutes activités de soutien aux différentes filières agricoles répertoriées au niveau des ministères sectoriels ;

– mettre en place une plateforme technique de gestion de toutes les filières : signature de contrats-programmes de développement entre l’Etat et les responsables des faîtières ;

– recenser les acteurs, collecter des données fiables et initier des programmes pluriannuels d’investissement partagés engageants les parties prenantes ;

3

-définir, codifier et partager de façon transparente tous les critères d’éligibilité aux soutiens de l’État ;

4

– améliorer la mobilisation des ressources publiques destinées au secteur agricole;

5

-exiger des résultats aux bénéficiaires et assurer une bonne évaluation des acteurs clé dans la mise en œuvre des programmes de l’État ;

6

proposition d’un nouveau dispositif de financement : réformer nos modèles de gouvernance des filières agro-sylvo pastorales et halieutiques (cibles bénéficiaires, structures dédiées, mécanismes et outils, critères d’éligibilité, performances des programmes);

7

-organiser et calibrer les soutiens en se basant sur les différentes filières et les catégories d’acteurs dans chaque filière devient pertinent ;

8

-les produits de financement seront packagés (services, taux d’intérêt, assurance agricole, formation, filet social);

-les outils, instruments et mécanismes existants doivent être mobilisés en totale

complémentarité et en synergie de manière à rendre plus efficaces et efficientes ;

Une union des acteurs pour cheminer vers l’atteinte des objectifs visés

Cette étude menée par Malick NDIAYE – Consultant Expert en Banque et Finances ancien Directeur Général de Banque Agricole suggère, par ailleurs, une nouvelle alliance partenariale capable de mobiliser toutes les capacités et énergies que recèlent l’environnement et les acteurs publics comme privés.

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