Le ROPPA a négocié et obtenu en 2007 de la FAO et de la Coopération italienne un appui technique et financier pour le développement d’unités semi industrielles de transformation agroalimentaire pour la réduction de la pauvreté et de l’insécurité alimentaire.

Le Projet GCP/RAF/410/ITA visait  à créer les conditions de base garantissant la réussite des unités de transformation agroalimentaire qui seront développées et/ou renforcées. Il est mis en œuvre dans 5 pays de l’Afrique de l’Ouest : Burkina Faso, Mali, Niger, Sénégal, Togo.

L’objectif visé est de renforcer les capacités technique, économique et  organisationnelle des promotrices d’initiatives de transformation agroalimentaire afin d’accroître et diversifier leurs offres de produits, améliorer la qualité de leurs produits et la productivité des unités de transformation.

Les plates-formes paysannes nationales, membres ou associées au ROPPA sont responsables de la mise en œuvre du programme au niveau de chaque pays. Au Sénégal, c’est le Conseil National de Concertation et de Coopération des Ruraux (CNCR) qui est  responsable de la mise en œuvre du programme. Il travaille en étroite collaboration avec les autres partenaires du projet et en coordination directe avec la FAO et le ROPPA.

La transformation agroalimentaire développée par les petits producteurs, au sein des exploitations, marque à plusieurs égards une rupture avec cette transformation industrielle. Elle fait parti des stratégies d’amélioration de l’alimentation des familles des producteurs, la commercialisation et la rentabilité de certains produits en pleine croissance et/ou très périssables (céréales, fruits et légumes, lait, produits de pêche). Cette transformation agroalimentaire s’appuie prioritairement sur des segments de marchés domestiques (local, national, sous régional), rémunérant les efforts de tous les acteurs dans la chaîne de production et de distribution. Elle a bénéficié ces dernières années, d’un développement des techniques et technologies alimentaires adaptées à sa nature et ses ambitions. Ce qui lui a permis d’améliorer la qualité de l’offre de produits et de la diversifier.

Le projet vise à renforcer les capacités des exploitations familiales à la base pour créer et/ou renforcer des unités semi industrielles de transformation de leurs productions, visant à accroître les revenus agricoles, améliorer l’alimentation des populations locales, et contribuer ainsi à la réduction de la pauvreté et la vulnérabilité en zones rurales.

Le projet consistait à valoriser les perspectives offertes par les progrès réalisés sur les procédés de transformation et les technologies nouvelles, pour accroître et diversifier l’offre de produits transformés, promouvoir la demande locale de ces produits.

Pour ce faire, il mettra à la disposition de promoteurs de projets, des opportunités de formation et des mécanismes permanents d’appui conseil de proximité, pour accroître leurs capacités techniques, économiques et organisationnelles. Ces appuis seront couplés avec des soutiens à l’acquisition du matériel nécessaire pour mettre en œuvre les projets de transformation.

Le Programme d’appui aux organisations paysannes africaines (PAOPA) est un programme pilote qui a été lancé en 2009 pour renforcer la capacité des OP des pays d’Afrique. Il s’agissait du premier programme lancé à l’échelle du continent africain par les quatre réseaux régionaux d’OP en Afrique sub-saharienne (EAFF, PROPAC, ROPPA et SACAU) pour travailler ensemble au sein d’un même programme à l’appui du développement institutionnel de leurs organisations à tous les niveaux. La phase pilote a été financé par l’Union européenne et le FIDA.
La phase principale du PAOPA (2013-2017) prend appui sur les résultats et les enseignements tirés de la phase pilote pour amplifier les activités et la portée du programme. Les activités de la phase principale sont regroupées autour de 4 composantes :

  1. Composante 1 – Renforcement institutionnel ;
  2. Composante 2 – Participation à l’élaboration des politiques ;
  3. Composante 3 – Fourniture de services économiques ;
  4. Composante 4 – Appui aux activités panafricaines.

La portée géographique du programme a été élargie en incluant l’Afrique du Nord grâce á l’entrée d’un cinquième réseau régional, l’UMNAGRI (Union Maghrébine et Nord Africaine des Agriculteurs) qui s’est associé à la phase principale. Le programme soutient actuellement 68 organisations paysannes nationales (OPN) dans 49 pays, leurs cinq réseaux régionaux et la PAFO (Organisation Paysanne Panafricaine).
Le FIDA supervise et cofinance la phase principale du PAOPA. L’Union européenne (EU), la Direction du développement et de la coopération (DDC) de la Confédération suisse et l’Agence Française de Développement (AFD) apportent des fonds par l’intermédiaire du FIDA. Le coût total du programme est 19,9 millions d’EUR.
Les fonds sont adressés aux réseaux régionaux qui les affectent aux OPN. Les réseaux régionaux sont responsables de la coordination générale et de la mise en oeuvre des activités dans leurs régions. Les OPN collaborent à l’exécution du programme et sont responsables des activités au niveau national.
L’objectif global de la phase principale du PAOPA est d’améliorer les moyens d’existence et la sécurité alimentaire des petits agriculteurs et producteurs ruraux africains.
L’objectif spécifique du programme est d’aider les OP africaines à devenir des organisations plus stables, plus performantes et plus responsables, afin qu’elles soient à même de représenter efficacement leurs membres et de les conseiller sur leurs activités agricoles.
Les résultats suivants en sont attendus :

  • Résultat no1: Renforcement des capacités institutionnelles et organisationnelles des OP (Composante 1 – Renforcement institutionnel) 4
  • Résultat no 2: Renforcement des capacités d’influence des OP nationales et régionales sur les politiques dans des domaines prioritaires (Composante 2 – Participation à l’élaboration des politiques)
  • Résultat no 3: Amélioration des capacités entrepreneuriales des OP et leur participation aux filières (Composante 3 – Fourniture de services économiques)
  • Résultat no 4: Renforcement des capacités de l’Organisation paysanne panafricaine à participer aux processus d’élaboration et de négociation des politiques relatives à l’agriculture et au développement rural au niveau continental et international. (Composante 4 – Appui aux activités panafricaines).

Grâce à une synergie entre différents financements (Aires-Sud/FSP, SolAO/ANR, MycoVigna/Corus en complément du projet Ripimsa/Ripiecsa), la zone de l’étude de Ouarkhokh initialement prévue dans le projet a été élargie à trois autres communautés rurale (Dya, Darou Mousty et Guédé village).

L’hypothèse scientifique en 2010 (comme annoncé dans le rapport d’étape 2009-2010) était que les différents types de sols présentaient différents niveaux de production végétative et de différences de diversité génétique de populations de bradyrhizobiums qui joueraient un rôle dans la compétition de souches sélectionnées après inoculation. L’étude de la diversité de bradyrhizobiums de niébé dans différentes zones pluviométriques (quatre communautés rurales) a montré une variabilité de la diversité entre les sites à la même pluviométrie. Seul ce paramètre écologique n’expliquait donc pas les différences microbiologiques observées. Les enquêtes anthropologiques ont révélé par ailleurs que dans les CR de Dya et Ouarkhokh les agriculteurs distinguent trois grands types de sols : dior, dek et dek-dior (F. Jankowski, communication personnelle). Cette distinction repose sur un ensemble de critères qui sont  la couleur, la texture, les espèces végétales présentes, la topographie, la fertilité, les effets de la saison des pluies, les modalités d’exploitation et l’association à un type de culture. La typologie de sols apparaît comme paramètre d’étude plus complet de la vulnérabilité de sols. Les résultats obtenus montrent que les mêmes types de sols dans les deux communautés rurales se distinguent du point de vue de la production végétative, au champ, sur la base de la production en graines, et en serre, de la matière aérienne. Un gradient de production dior > dek-dior > dek semble apparaître (moins prononcé en serre) à Dya, alors qu’à Ouarkhokh, il suit le gradient de richesse de sol observé dans les enquêtes anthropologiques dior < dek-dior < dek . La diversité de bradyrhizobiums de niébé dans ces différents types en cours d’analyse. A Ouarkhokh, il n’y a pas de relations apparentes entre le type de sols et les fréquences de nodulation de types IGS ; le type génétique IGS I montre différentes fréquences de nodulation pour un même type de sol. A Dya, quatre sols sur neuf ont été analysés ce que ne permet pas d’en tirer de tendances.

Le ROPPA a négocié et obtenu en 2007 de la FAO et de la Coopération italienne un appui technique et financier pour le développement d’unités semi industrielles de transformation agroalimentaire pour la réduction de la pauvreté et de l’insécurité alimentaire.

Le projet GCP/RAF/410/ITA répond à une attente forte que les membres du ROPPA avaient  exprimée lors de la 4ème Convention Ordinaire organisée à Saint Louis en 2006. En effet, les membres avaient demandé à ce que leur réseau s’investisse davantage en faveur de la modernisation des exploitations familiales et la valorisation de leurs productions.
Le Projet GCP/RAF/410/ITA vient en complémentarité de diverses initiatives prises par le ROPPA à cet effet, notamment l’opération de promotion de la transformation agroalimentaire développée en partenariat avec le Groupe d’Appui (GA) des ONG Italiennes et Colderetti . Il s’agit de soutenir les initiatives de transformation agroalimentaire au sein des exploitations familiales et/ou des Organisations Paysannes dans 7 pays en Afrique de l’Ouest. , et ce autour de produits agricoles pressentis au regard de leurs importance économique et sociale pour les paysans. Les initiatives de transformation sont portées dans la plupart des cas par les femmes et portent sur le Riz, le poisson, les fruits et le lait.

Le Projet GCP/RAF/410/ITA vise à créer les conditions de base garantissant la réussite des unités de transformation agroalimentaire qui seront développées et/ou renforcées. Il est mis en œuvre dans 5 pays de l’Afrique de l’Ouest : Burkina Faso, Mali, Niger, Sénégal, Togo.

L’objectif visé est de renforcer les capacités technique, économique et  organisationnelle des promotrices d’initiatives de transformation agroalimentaire afin d’accroître et diversifier leurs offres de produits, améliorer la qualité de leurs produits et la productivité des unités de transformation.

Les plates-formes paysannes nationales, membres ou associées au ROPPA sont responsables de la mise en œuvre du programme au niveau de chaque pays. Au Sénégal, c’est le Conseil National de Concertation et de Coopération des Ruraux (CNCR) qui est  responsable de la mise en œuvre du programme. Il travaille en étroite collaboration avec les autres partenaires du projet et en coordination directe avec la FAO et le ROPPA.

Le programme pilote Leadership Féminin est financé par le FIDA et mis en oeuvre au niveau quatre pays : Sénégal, Madagascar, Philippines, Népal.
Son objectif général est de renforcer les capacités des femmes en terme d’influence et d’expression de leurs préoccupations afin d’accroitre leur nombre aux postes de direction et de développer leurs capacités managériales.
Les objectifs spécifiques sont au nombre de trois, à savoir :

  • Renforcer les capacités des femmes des OP dans le domaine du leadership/négociation.
  • Renforcer les capacités des femmes des OP en gouvernance des Organisations.
  • Sensibiliser l’opinion publique sur le rôle des femmes dans l’agriculture.

Le programme devait entrer en vigueur le 4 septembre 2009 et s’achever le 30 septembre 2011mais il y a eu des retards dans les procédures du FIDA et le virement du financement au CNCR. Le premier versement étant fait en mi-décembre 2010, les activités ont démarré dés janvier 2011 par le recrutement d’une coordonnatrice.
La première tanche du financement a permis la réalisation entre Janvier et Décembre 2011 des actions suivantes :

  • Participation à l’atelier de formation/information à Madagascar sur le thème : « Leadership des femmes rurales »
  • Réunion de sensibilisation et de mise à niveau des membres du collège des femmes
  • Participation du collège des femmes à la marche d’ouverture du Forum Social Mondial 2011 de Dakar
  • Journée annuelle de mobilisation/ sensibilisation sur le rôle et place des femmes dans les OP
  • Recrutement du consultant- formateur et choix du noyau de formateurs
  • Atelier de validation des modules de formation en Leadership/ Négociation et en Gouvernance des Organisations
  • Formation du noyau de formateurs en Leadership/ Négociation
  • Formation du noyau en Gouvernance des Organisations et en Techniques de formation
  • Elaboration de TDR pour les séances de démultiplication des formations (Leadership, Gouvernance) à Koul/ Thiès et Ogo/ Matam
  • Elaboration du Diagnostic Organisationnel Participatif (DOP) et Réactualisation du plan d’action du collège des femmes pour l’année 2011/ Elaboration du plan d’action stratégique du CF pour 2011/ 2015
  • Formation du noyau en techniques de Communication et Plaidoyer- Lobbying pour la préparation des activités de sensibilisation auprès des médias (radios, télés nationales et privées, radios communautaires)
  • Elaboration du plan de communication du collège des femmes du CNCR

Malheureusement des problèmes de coordination ont fait que le programme devait s’arrêter car aucune disposition n’a été prise pour le prolongement de la date d’achèvement. Ainsi le programme s’est arrêté en fin septembre sans la réalisation des sessions de démultiplication qui étaient en préparation au niveau des CLCOP de Ogo et Koul ainsi que des émissions radios programmées.

L’agriculture familiale est bien plus qu’un simple modèle d’économie agricole: elle constitue la base de la production durable d’aliments pour avancer vers la sécurité et la souveraineté alimentaire, de la gestion environnementale du territoire et de sa biodiversité, source d’importantes dimensions culturelles de chaque peuple et, en définitive, pilier fondamental du développement intégral des nations.

Dans le monde d’aujourd’hui, il est rapporté par le Forum Rural mondial (FRM) que plus de 3 milliards de personnes vivent à la campagne. Or, la plupart de ces femmes et de ces hommes, soit quelques 2,5 milliards de personnes, sont agriculteurs et plusieurs centaines de millions sont des journaliers sans terre. 40% des ménages dans le monde dépendent de l’agriculture familiale. Plus de 1500 millions d’entre eux mettent en valeur 404 millions de parcelles de moins de deux hectares, et de moins d’un hectare pour la plupart. Pour sa part, la population rurale impliquée dans une agriculture industrielle ne dépasse pas les 20 millions de personnes.

Dans le secteur rural, le bétail et les éleveurs ont une importance socio-économique et culturelle majeure, fortement liée à la notion de l’agriculture familiale. Les systèmes d’élevage extensifs occupent environ 25% de la surface de la terre et produisent environ 10% de la viande destinée à la consommation humaine, dont environ 20 millions des ménages pastoraux sont dépendants. Dans de nombreuses régions du monde, cette forme de transhumance s’adapte parfaitement à l’équilibre écologique fragile, et c’est une forme de production animale très productive, difficile à remplacer et digne de respect et de soutien.

En ce qui concerne le milieu fluvial et marin, le poisson en tant que nourriture pour la consommation humaine fait partie du droit à l´alimentation. Plus d´un milliard de personnes dans le monde dépendent de la pêche en tant que source de protéines animales. Les communautés de pêcheurs ont permis d’alimenter traditionnellement des secteurs très pauvres de la population, mais les nouvelles politiques commerciales, marginalisent la pêche traditionnelle et ont fait du poisson une nourriture pour ceux qui peuvent payer son prix. Les moyens d’existence de 357 millions de personnes dépendent directement de la pêche artisanale, qui emploie plus de 90% des pêcheurs de capture dans le monde.

En Afrique de l’Ouest, le secteur agricole demeure le premier fournisseur de main d’œuvre. Plus de 60 % de la population active de la région CEDEAO travaille dans ce secteur en dépit de la faible rémunération de son effort par rapport aux autres secteurs de l’économie. Les femmes occupent une place considérable dans le processus de production, de transformation  et de commercialisation des produits agricoles. À l’heure actuelle, les besoins alimentaires des populations de la région sont satisfaits à 80 % par les productions régionales. L’essentiel de la production agricole provient des exploitations familiales de petites tailles qui méritent toujours d’être soutenues par les politiques publiques. On note aujourd’hui de plus en plus, une présence des agro-industries qui ne doit en aucun cas, être privilégiées au détriment des petits producteurs sans essayer de comprendre le modes de fonctionnement et la rationalité de ces derniers.

Au Sénégal, les céréales sèches qui représentent 66 %  de la consommation totale de céréales sont produites principalement par les exploitations familiales. Elles sont la base de l’alimentation de nombreuses familles rurales et urbaines et elles fournissent l’alimentation à plus de 60 % de la population .

Les légumes de grande consommation (tomate, pomme de terre, chou, etc.) proviennent en grande partie des exploitations familiales et la production est en forte progression; c’est par exemple le cas de l’oignon et  de la tomate industrielle qui contribue fortement à la couverture des besoins en concentré.

Les exploitations familiales ont aussi un rôle très important dans la fourniture de protéines animales à la population. Le poisson contribue pour  environ 75% à  ces apports et il est majoritairement fourni par la pêche artisanale qui assure les deux tiers des mises à terre. La contribution de l’élevage est elle aussi importante. En effet, la production de viande rouge couvre 80 % de la consommation nationale.

Le Conseil National de Concertation et de Coopération des Ruraux (CNCR) a vu le jour, le 17 Mars 1993. Sa gestation ayant duré prés d’une vingtaine d’années, ses membres fondateurs ayant cumulé une somme d’expériences considérables lui ont assuré une maturité certaine dès le départ.

C’est sur les réflexions, amorcées dans les années 70, que s’appuie la philosophie du mouvement paysan sénégalais et ce sont ces mêmes réflexions qui animent aujourd’hui le CNCR.

Tout est parti d’un travail sur les impacts de l’ajustement structurel dont les résultats ont fait l’objet d’un partage au cours d’un forum en Février 1993 sur « Quel avenir pour le mouvement paysan Sénégalais ». En effet, c’est au sortir de ce forum qu’est parue la nécessité de créer un espace de dialogue et de concertation pour une prise en main du destin des paysannes et des paysans du Sénégal. C’est cette prise en charge qui est à l’origine de la création du CNCR dont les ruraux du pays ont raison de s’enorgueillir et dont ils réclament qu’on le considère comme leur véritable porte- parole.

La finalité du  CNCR est de contribuer au développement d’une agriculture paysanne qui assure une promotion socio-économique durable des exploitations familiales. Pour ce faire, il œuvre à la réalisation des objectifs suivants :

  • Promouvoir la concertation et la coopération entre ses membres,
  • Favoriser un partenariat avec ses membres d’une part, entre l’Etat et les autres partenaires publics et privés d’autre part.
  • Favoriser l’émergence et le développement d’une plate forme de concertation entre les organisations paysannes de la région Afrique de l’Ouest.

L’enjeu de la mobilisation est énorme, mais en plus celui d’une réelle célébration réussie reste un défi pour les organisations de la société civile et notamment les organisations de producteurs.

Depuis le années 2000, le CNCR, les organisations de producteurs en partenariat avec le laboratoire Commun de Microbiologie (IRD-ISRA-UCAD) et l’ANCAR,  ont mené des actions conjointes de transfert de la technologie de l’inoculation des microorganismes symbiotiques. Cette recherche a permis de montrer en milieu réel, sur des sites pilotes, l’impact positif de l’inoculation sur le soja, le niébé, la gomme arabique et la tomate (baisse du cout de production).

Facebook Comments Box